Offener Wettbewerb | 05/2015
Studentenwohnviertel / Un quartier de logements étudiants pour les Hautes Ecoles à La Pala
©Olalquiaga Arquitectos
LA CHAMBRE ET LE TERRITOIRE
2. Rang / ein 2. Preis
Preisgeld: 85.000 CHF
MG associés sàrl architectes paysagistes
Landschaftsarchitektur
MAP Monnier Architecture du Paysage
Landschaftsarchitektur
Bauingenieurwesen, TGA-Fachplanung
Erläuterungstext
PAYSAGE
Concept territorial :
Le quartier de logement La Pala a pour ambition de relier la commune de Chavannes-près-Renens au campus des Hautes Écoles. La volonté de rendre ce lieu facilement accessible a guidé le concept urbanistique depuis le dessin d’un bâtiment ouvert et extraverti jusqu’à la générosité des espaces rendus public.
Le pont multimodal, les nouveaux cheminements et les places publiques fournissent des connexions rapides vers le campus, les arrêts du M1 et les quartiers d’habitation de Chavannes. Cette forte connectivité s’organise autour du parvis de la Pala, nouveau point d’intensité et de rencontre. Le réaménagement de la place Unil-Sorge vient compléter ce dispositif.
Le choix d’un revêtement unique pour l’ensemble des espaces publics (périmètre élargi) permet d’unifier l’unification des les aménagements. Le choix s’est porté sur l’utilisation d’un bitume végétal pour ces avantages économiques, écologiques et esthétiques. Concernant les placettes nous avons choisi un revêtement perméable (type stabilysé) qui selon nous sera en parfaite adéquation avec le caractère naturel du site.
Aménagements paysagers :
Il s’agira ici d’assurer la préservation ainsi que la valorisation du patrimoine paysager existant. Ainsi les surfaces vertes en périphérie du quartier seront plantées d’une prairie extensive permettant une transition douce entre surfaces naturelles et aménagées.
Dans la cour est proposé un jardin plus construit où circulent les habitants. Quatre mouvements de terre (engazonnés) sont le support d’usages récréatifs et de détente destinés aux étudiants. Trois masses boisées composées de pins et de boulots, apportent une atmosphère intime et de l’ombre à la cour.
Au nord le parc est planté de grands arbres solitaires, s’accordant parfaitement avec les structures paysagères voisines (cimetière, parcs).
A l’ouest, le cordon boisé de la Sorge s’épaissi, renforçant ainsi la continuité écologique voulue. Au sud une zone rétention permet de récolter les eaux de surface du nouveau quartier. Elle est plantée d’une végétation humide maintenant une liaison écologique de qualité entre les biotopes de la Sorge et de la Mèbres.
Enfin sur l’axe nord/sud est aménagé une promenade plantée est aménagé ordre reliant le centre de Chavannes, le quartier La Pala et le campus des Hautes Écoles.
ARCHITECTURE
Après la lecture des remarques et suggestions du jury le projet a évolué ver l’optimisation de sa fonctionnalité. Ainsi que maximaliser la relation chambre - territoire et la relation entre les différentes chambres.
- Exploitation du potentiel des grandes ouvertures en façade. Parution de terrasses praticables de grande taille (en bois ou végétalisées) et zones de détente et rencontre, avec des grandes vues panoramiques.
- Terrasses couvertes situées en face des espaces de vie partagés, zone LHA et noyaux de communication verticale.
- Les espaces de vie partagés et les noyaux dans les zones LET1 sont situés à côté des grandes ouvertures pour améliorer la qualité de ces espaces.
-Dans la zone LET2, les espaces de vie partagés profitent d’un espace à double hauteur qui enrichit l’espace.
-Passerelles de communication sont prévues à différent points pour relier certains espaces et garantir la continuité de la circulation intérieure.
REZ-DE-CHAUSSEE-ACTIVITES COMMUNES
La grande salle de sport se situe au nord-est du bâtiment, près des installations sportives déjà existants sur la route Praz Veguey. Le programme sportif se situe à l’intérieur du périmètre du bâtiment sur deux niveaux: rez et sous-sol. La salle double type VD4 se trouve sous la colline artificielle du jardin intérieur du projet. Cette salle et le jardin sont connectés par un grand espace paysager en gradins. Cet aménagement permet une relation visuelle entre la zone de sport et la place et au même temps sert comme un espace qui se prête à diverses activités culturelles ou zone de repos.
Une toiture végétalisée avec lucarnes, permets l’éclairage naturelle de la salle de sport pendant la journée, et crée un effet lanterne pendant la nuit.
Le programme public se trouve au rez-de-chaussée sous l’empreinte du bâtiment. Toujours entourée de verandas et jardins.
CVE au nord, entre la place intérieure et le grand jardin extérieur
VIE à l’est, à côté de l’espace extérieur parallèle à la voie Praz-Vaguey
SER à côté de la grande porte d’entrée depuis les Hautes Ecoles
COM et RES le long du chemin piéton qui relie le quartier Sud des Chevennens-près-Renens(est) avec les Hautes écoles (sud).
Grande ouverture du volume vers la zone des Hautes écoles. A titre de porte d’entrée depuis le sud, et aussi au Quartier Sud des Chavannes-près -Renens depuis l’est. Création d’un parcours qui travers la grande place centrale où se situent les commerces, restaurants et autres services.
LE PONT ET CIRCULATIONS TIM ET MOD
La volonté de séparation entre la mobilité douce et la circulation motorisée a influencé énormément la géométrie du pont.
Le pont est conçu comme deux structures indépendantes qui se rapprochent au milieu pour se séparer de nouveau aux extrémités.
Statiquement le pont s’appuie sur deux piliers au milieu. Sur chaque pilier la structure se ramifie en deux bras indépendants et autoportants (un pour MOD et l’autre pour TIM)
Ces deux bras cherchent toujours la côte du terrain naturel pour s'appuyer d’une façon naturelle en s’adaptant à la topographie. Côte +392 au sud, et côte + 395.5 au nord.
La bifurcation aux extrêmes du pont permet l’intégration du même au paysage et aussi la pénétration de lumière et végétation.
Un profil métallique en acier inox. ferme la tête de dalle sur le côté et permets l’accrochage d’un garde-corps légère en verre.
Le parking pour voitures se situe entre le bâtiment et le cordon boisé au niveau +391
Parking pour vélos:
- Niveau +393.5 sur la plate-forme qui couvre partiellement le parking pour voitures.
- Le long de la route Praz-Veguey et dans la partie couverte du bâtiment au rez.
COMPOSITION COMPLÈTE DU GROUPE PLURIDISCIPLINAIRE:
ARCHITECTES:
Alfonso Olalquiaga
Pablo Olalquiaga
Rafael Olalquiaga
Henar Varela
José Manuel Rico
Marcos Díaz Guerra
Alfredo Entrala
Jesús Resino
Piero Banderet
PAYSAGISTE:
MG Associés Sàrl architectes paysagistes
Monnier Architecture du Paysage
INGÉNIEUR CVSE:
BG Ingénieurs Conseils SA
INGÉNIEUR CIVIL:
BG Ingénieurs Conseils SA
Concept territorial :
Le quartier de logement La Pala a pour ambition de relier la commune de Chavannes-près-Renens au campus des Hautes Écoles. La volonté de rendre ce lieu facilement accessible a guidé le concept urbanistique depuis le dessin d’un bâtiment ouvert et extraverti jusqu’à la générosité des espaces rendus public.
Le pont multimodal, les nouveaux cheminements et les places publiques fournissent des connexions rapides vers le campus, les arrêts du M1 et les quartiers d’habitation de Chavannes. Cette forte connectivité s’organise autour du parvis de la Pala, nouveau point d’intensité et de rencontre. Le réaménagement de la place Unil-Sorge vient compléter ce dispositif.
Le choix d’un revêtement unique pour l’ensemble des espaces publics (périmètre élargi) permet d’unifier l’unification des les aménagements. Le choix s’est porté sur l’utilisation d’un bitume végétal pour ces avantages économiques, écologiques et esthétiques. Concernant les placettes nous avons choisi un revêtement perméable (type stabilysé) qui selon nous sera en parfaite adéquation avec le caractère naturel du site.
Aménagements paysagers :
Il s’agira ici d’assurer la préservation ainsi que la valorisation du patrimoine paysager existant. Ainsi les surfaces vertes en périphérie du quartier seront plantées d’une prairie extensive permettant une transition douce entre surfaces naturelles et aménagées.
Dans la cour est proposé un jardin plus construit où circulent les habitants. Quatre mouvements de terre (engazonnés) sont le support d’usages récréatifs et de détente destinés aux étudiants. Trois masses boisées composées de pins et de boulots, apportent une atmosphère intime et de l’ombre à la cour.
Au nord le parc est planté de grands arbres solitaires, s’accordant parfaitement avec les structures paysagères voisines (cimetière, parcs).
A l’ouest, le cordon boisé de la Sorge s’épaissi, renforçant ainsi la continuité écologique voulue. Au sud une zone rétention permet de récolter les eaux de surface du nouveau quartier. Elle est plantée d’une végétation humide maintenant une liaison écologique de qualité entre les biotopes de la Sorge et de la Mèbres.
Enfin sur l’axe nord/sud est aménagé une promenade plantée est aménagé ordre reliant le centre de Chavannes, le quartier La Pala et le campus des Hautes Écoles.
ARCHITECTURE
Après la lecture des remarques et suggestions du jury le projet a évolué ver l’optimisation de sa fonctionnalité. Ainsi que maximaliser la relation chambre - territoire et la relation entre les différentes chambres.
- Exploitation du potentiel des grandes ouvertures en façade. Parution de terrasses praticables de grande taille (en bois ou végétalisées) et zones de détente et rencontre, avec des grandes vues panoramiques.
- Terrasses couvertes situées en face des espaces de vie partagés, zone LHA et noyaux de communication verticale.
- Les espaces de vie partagés et les noyaux dans les zones LET1 sont situés à côté des grandes ouvertures pour améliorer la qualité de ces espaces.
-Dans la zone LET2, les espaces de vie partagés profitent d’un espace à double hauteur qui enrichit l’espace.
-Passerelles de communication sont prévues à différent points pour relier certains espaces et garantir la continuité de la circulation intérieure.
REZ-DE-CHAUSSEE-ACTIVITES COMMUNES
La grande salle de sport se situe au nord-est du bâtiment, près des installations sportives déjà existants sur la route Praz Veguey. Le programme sportif se situe à l’intérieur du périmètre du bâtiment sur deux niveaux: rez et sous-sol. La salle double type VD4 se trouve sous la colline artificielle du jardin intérieur du projet. Cette salle et le jardin sont connectés par un grand espace paysager en gradins. Cet aménagement permet une relation visuelle entre la zone de sport et la place et au même temps sert comme un espace qui se prête à diverses activités culturelles ou zone de repos.
Une toiture végétalisée avec lucarnes, permets l’éclairage naturelle de la salle de sport pendant la journée, et crée un effet lanterne pendant la nuit.
Le programme public se trouve au rez-de-chaussée sous l’empreinte du bâtiment. Toujours entourée de verandas et jardins.
CVE au nord, entre la place intérieure et le grand jardin extérieur
VIE à l’est, à côté de l’espace extérieur parallèle à la voie Praz-Vaguey
SER à côté de la grande porte d’entrée depuis les Hautes Ecoles
COM et RES le long du chemin piéton qui relie le quartier Sud des Chevennens-près-Renens(est) avec les Hautes écoles (sud).
Grande ouverture du volume vers la zone des Hautes écoles. A titre de porte d’entrée depuis le sud, et aussi au Quartier Sud des Chavannes-près -Renens depuis l’est. Création d’un parcours qui travers la grande place centrale où se situent les commerces, restaurants et autres services.
LE PONT ET CIRCULATIONS TIM ET MOD
La volonté de séparation entre la mobilité douce et la circulation motorisée a influencé énormément la géométrie du pont.
Le pont est conçu comme deux structures indépendantes qui se rapprochent au milieu pour se séparer de nouveau aux extrémités.
Statiquement le pont s’appuie sur deux piliers au milieu. Sur chaque pilier la structure se ramifie en deux bras indépendants et autoportants (un pour MOD et l’autre pour TIM)
Ces deux bras cherchent toujours la côte du terrain naturel pour s'appuyer d’une façon naturelle en s’adaptant à la topographie. Côte +392 au sud, et côte + 395.5 au nord.
La bifurcation aux extrêmes du pont permet l’intégration du même au paysage et aussi la pénétration de lumière et végétation.
Un profil métallique en acier inox. ferme la tête de dalle sur le côté et permets l’accrochage d’un garde-corps légère en verre.
Le parking pour voitures se situe entre le bâtiment et le cordon boisé au niveau +391
Parking pour vélos:
- Niveau +393.5 sur la plate-forme qui couvre partiellement le parking pour voitures.
- Le long de la route Praz-Veguey et dans la partie couverte du bâtiment au rez.
COMPOSITION COMPLÈTE DU GROUPE PLURIDISCIPLINAIRE:
ARCHITECTES:
Alfonso Olalquiaga
Pablo Olalquiaga
Rafael Olalquiaga
Henar Varela
José Manuel Rico
Marcos Díaz Guerra
Alfredo Entrala
Jesús Resino
Piero Banderet
PAYSAGISTE:
MG Associés Sàrl architectes paysagistes
Monnier Architecture du Paysage
INGÉNIEUR CVSE:
BG Ingénieurs Conseils SA
INGÉNIEUR CIVIL:
BG Ingénieurs Conseils SA
Beurteilung durch das Preisgericht
Urbanisme et architecture
La forme urbaine proposée, par son autonomie vis-à-vis du contexte éclaté, n’est pas inintéressante. Elle se joue de l’indéfinition actuelle, sans l’aggraver et sans chercher à la résoudre; ce parti est viable. Il n’en reste pas moins que l’échelle de la construction est imposante vis-à-vis des bâtiments existants et il n’est pas sûr que la sinuosité de la façade atténue ce saut d’échelle.
Le jury regrette que le centre de la composition se soit passablement refermé sur lui-même par rapport au rendu du premier tour.
Le rez-de-chaussée est peu perméable. L’examen du plan contredit l’impression de transparence donnée par les perspectives rendues.
A ce chapitre, la position en coupe de la salle de sports crée une topographie malheureuse qui s’apparente à un obstacle à l’endroit où le projet pourrait se relier avec le tissu construit de la commune de Chavannes.
La typologie proposée d’un couloir central est pauvre et peu engageante. Un effet de labyrinthe est créé par ailleurs par la courbure induite par le forme générale de la proposition. Les grandes fenêtres qui ponctuent la circonvolution, si elles ont reçu au deuxième tour une partie programmatique bienvenue, ne sont pas franchissables pour autant. Elles isolent de ce fait des portions de bâtiment qui ne communiquent pas ensemble.
Le jury reste sceptique sur les qualités spatiales de la chambre d’étudiant. La lecture croisée des perspectives rendues et du plan montre que ce qui s’annonce comme des ouvertures généreuses dans celles-ci s’avèrent des petits percements dans celui-là. La coupe constructive et son descriptif présentent le même hiatus avec les images.
Si le vivre ensemble estudiantin trouve ici une forme originale et une signature propre à l’échelle urbaine, sa transcription à l’échelle vécue et intime de la valeur d’usage n’a pas convaincu le jury. Une forme aussi exceptionnelle aurait pu certainement produire des qualités spatiales plus affirmées.
Lieu de vie
Le dégagement d’une localisation centrale aménagée en espaces verts colonisables par les habitants séduit. L’éventuel sentiment d’enfermement est cassé par les larges ouvertures dans le corps de bâtiment ondulant autour de cet espace central. Le cadre proposé, résolument différent de celui des bâtiments d’enseignement, offre une réelle coupure dans la journée estudiantine. Les longs corridors curvilignes empêchant la perception de son extrémité sont perçus comme oppressant.
Technique
A l’instar d’autres projets, le projet déroge marginalement à des données du cahier des charges (le périmètre d’implantation du bâtiment, le tracé du cheminement de mobilité douce en direction de l’Est). Ces dérogations de nature mineures ne confèrent cependant pas d’avantage déterminant en faveur du projet.
Le projet est fondamentalement simple. Les questions relatives aux fondations, la structure, les énergies et au développement durable ont été appréhendées et traitées. L’auteur du projet affirme pouvoir se passer de joints sur un ouvrage d’une taille significative sans que la plausibilité de cette assertion n’ait été démontrée.
Des éléments de la façade (ouvrants de ventilation et protections solaires dépliantes) ainsi que les conséquences de la création des grandes percées à travers pénalisent quelque peu un projet légèrement au dessus de la cible financière.
La forme urbaine proposée, par son autonomie vis-à-vis du contexte éclaté, n’est pas inintéressante. Elle se joue de l’indéfinition actuelle, sans l’aggraver et sans chercher à la résoudre; ce parti est viable. Il n’en reste pas moins que l’échelle de la construction est imposante vis-à-vis des bâtiments existants et il n’est pas sûr que la sinuosité de la façade atténue ce saut d’échelle.
Le jury regrette que le centre de la composition se soit passablement refermé sur lui-même par rapport au rendu du premier tour.
Le rez-de-chaussée est peu perméable. L’examen du plan contredit l’impression de transparence donnée par les perspectives rendues.
A ce chapitre, la position en coupe de la salle de sports crée une topographie malheureuse qui s’apparente à un obstacle à l’endroit où le projet pourrait se relier avec le tissu construit de la commune de Chavannes.
La typologie proposée d’un couloir central est pauvre et peu engageante. Un effet de labyrinthe est créé par ailleurs par la courbure induite par le forme générale de la proposition. Les grandes fenêtres qui ponctuent la circonvolution, si elles ont reçu au deuxième tour une partie programmatique bienvenue, ne sont pas franchissables pour autant. Elles isolent de ce fait des portions de bâtiment qui ne communiquent pas ensemble.
Le jury reste sceptique sur les qualités spatiales de la chambre d’étudiant. La lecture croisée des perspectives rendues et du plan montre que ce qui s’annonce comme des ouvertures généreuses dans celles-ci s’avèrent des petits percements dans celui-là. La coupe constructive et son descriptif présentent le même hiatus avec les images.
Si le vivre ensemble estudiantin trouve ici une forme originale et une signature propre à l’échelle urbaine, sa transcription à l’échelle vécue et intime de la valeur d’usage n’a pas convaincu le jury. Une forme aussi exceptionnelle aurait pu certainement produire des qualités spatiales plus affirmées.
Lieu de vie
Le dégagement d’une localisation centrale aménagée en espaces verts colonisables par les habitants séduit. L’éventuel sentiment d’enfermement est cassé par les larges ouvertures dans le corps de bâtiment ondulant autour de cet espace central. Le cadre proposé, résolument différent de celui des bâtiments d’enseignement, offre une réelle coupure dans la journée estudiantine. Les longs corridors curvilignes empêchant la perception de son extrémité sont perçus comme oppressant.
Technique
A l’instar d’autres projets, le projet déroge marginalement à des données du cahier des charges (le périmètre d’implantation du bâtiment, le tracé du cheminement de mobilité douce en direction de l’Est). Ces dérogations de nature mineures ne confèrent cependant pas d’avantage déterminant en faveur du projet.
Le projet est fondamentalement simple. Les questions relatives aux fondations, la structure, les énergies et au développement durable ont été appréhendées et traitées. L’auteur du projet affirme pouvoir se passer de joints sur un ouvrage d’une taille significative sans que la plausibilité de cette assertion n’ait été démontrée.
Des éléments de la façade (ouvrants de ventilation et protections solaires dépliantes) ainsi que les conséquences de la création des grandes percées à travers pénalisent quelque peu un projet légèrement au dessus de la cible financière.
©Olalquiaga Arquitectos
©Olalquiaga Arquitectos
©Olalquiaga Arquitectos
©Olalquiaga Arquitectos
©Olalquiaga Arquitectos
©Olalquiaga Arquitectos
©Olalquiaga Arquitectos
©Olalquiaga Arquitectos
©Olalquiaga Arquitectos
©Olalquiaga Arquitectos
©Olalquiaga Arquitectos
©Olalquiaga Arquitectos